Conférence des Amis de Bourron Marlotte : Firmin-Girard
Présentation
Allez assister à cette conférence animé par Patrick Faucheur sur Firmin-Girard (1838-1921), peintre de son temps entre impressionnisme et naturalisme !
Firmin-Girard a été au cœur des bouleversements artistiques du XIXème siècle.
Formé dans la tradition académique, il s’est préparé au concours de Rome et a exposé très tôt au Salon.
Contemporain des impressionnistes, qu’il a côtoyés lors de ses études au sein de l’atelier Gleyre et dont il a partagé certaines amitiés lorsqu’il s’initiait à la peinture de paysage à Barbizon et Marlotte, il a poursuivi dans la voie de la peinture de genre qui lui a permis de s’imposer rapidement avec des premiers succès qui vont au cours des années 1870 atteindre des sommets.
Il s’en est pourtant écarté pour s’engager dans une nouvelle démarche artistique plus en accord avec ses aspirations. La représentation des paysages et de la vie observée dans les régions qu’il fréquente, souvent en compagnie de son ami Armand Charnay, est devenue l’un de ses sujets favoris. Il s’est alors rapproché des courants naturalistes familiers de cette même thématique.
Il fait partie de cette fraction de l’art du XIXe siècle que le modernisme a longtemps nié et que l’on redécouvre depuis une quarantaine d’années. Académique ? Réaliste ? Impressionniste ? Naturaliste ? Firmin-Girard fut tout cela. Il a multiplié les techniques et les sujets tout au long de sa carrière créant des ruptures stylistiques qui ont compliqué la redécouverte d’une œuvre aux multiples facettes.
Allez assister à cette conférence animé par Patrick Faucheur sur Firmin-Girard (1838-1921), peintre de son temps entre impressionnisme et naturalisme !
Firmin-Girard a été au cœur des bouleversements artistiques du XIXème siècle.
Formé dans la tradition académique, il s’est préparé au concours de Rome et a exposé très tôt au Salon.
Contemporain des impressionnistes, qu’il a côtoyés lors de ses études au sein de l’atelier Gleyre et dont il a partagé certaines amitiés lorsqu’il s’initiait à la peinture de paysage à Barbizon et Marlotte, il a poursuivi dans la voie de la peinture de genre qui lui a permis de s’imposer rapidement avec des premiers succès qui vont au cours des années 1870 atteindre des sommets.
Il s’en est pourtant écarté pour s’engager dans une nouvelle démarche artistique plus en accord avec ses aspirations. La représentation des paysages et de la vie observée dans les régions qu’il fréquente, souvent en compagnie de son ami Armand Charnay, est devenue l’un de ses sujets favoris. Il s’est alors rapproché des courants naturalistes familiers de cette même thématique.
Il fait partie de cette fraction de l’art du XIXe siècle que le modernisme a longtemps nié et que l’on redécouvre depuis une quarantaine d’années. Académique ? Réaliste ? Impressionniste ? Naturaliste ? Firmin-Girard fut tout cela. Il a multiplié les techniques et les sujets tout au long de sa carrière créant des ruptures stylistiques qui ont compliqué la redécouverte d’une œuvre aux multiples facettes.
