Villa Max

Chelles
Villa Max

Présentation

La Villa Max, construite dans la seconde moitié du XIXe siècle, suit les modes architecturales de la IIIe République avec son toit en ardoise, sa tour carrée et un décor intérieur d’inspiration néo-gothique. Le jardin est également à voir.

Historique

Datant de 1889, la maison de briques rouges est implantée au sud d’une parcelle de 2000m2, acquise alors par M. Limoges. Construite dans le style des maisons bourgeoises que l’on trouve à l’époque, à Deauville ou Étretat, elle comporte deux niveaux habitables édifiés sur un sous-sol surélevé d’environ 1 mètre et un dernier étage de combles. Sans que la chose soit certaine, l’hypothèse la plus probable reste que la Villa Max porte encore le nom de son premier occupant.
Témoin du passé, pièce incontournable du patrimoine chellois, elle fut fréquentée par Armand Lanoux.

L’architecture…

L’ensemble est travaillé en béton sculpté façon bois, très en vogue à l’époque, grand principe de construction du jardin romantique des Buttes Chaumont à Paris, et que l’on retrouve dans certains endroits de Chelles comme sur la façade du "chalet de la petite vitesse" entre autre.

Le jardin

Le jardin, de style « anglo-chinois », comporte de beaux arbres et date également de l’origine de la construction. Inspirée par les oeuvres de Fragonard, Hubert Robert, ainsi que par les jardins de Rome, il est orné de « fabriques » en ciment armé dans le style de celui des Buttes-Chaumont à Paris et d'éléments architecturaux d’agrément ou utilitaires : grottes avec terrasse d’où jaillit une source alimentant un bassin, pigeonnier sur rocaille, chapelle surmontée d’un belvédère et d’une passerelle, venus sortant du bain, copie d’une statue du XVIIIe siècle « La baigneuse de Christophe » par Allegrain Gabriel Christophe.
La palette végétale est typique de l’époque de la création avec ifs, troènes, forsythias, houx, buis, aucuba, lilas. Des arbres remarquables sont également présents : deux cèdres du Liban dont l’un est centenaire, côté villa et pigeonnier et un séquoidendron giganteum, côté boulevard Chilpéric.

La Villa Max, construite dans la seconde moitié du XIXe siècle, suit les modes architecturales de la IIIe République avec son toit en ardoise, sa tour carrée et un décor intérieur d’inspiration néo-gothique. Le jardin est également à voir.

Historique

Datant de 1889, la maison de briques rouges est implantée au sud d’une parcelle de 2000m2, acquise alors par M. Limoges. Construite dans le style des maisons bourgeoises que l’on trouve à l’époque, à Deauville ou Étretat, elle comporte deux niveaux habitables édifiés sur un sous-sol surélevé d’environ 1 mètre et un dernier étage de combles. Sans que la chose soit certaine, l’hypothèse la plus probable reste que la Villa Max porte encore le nom de son premier occupant.
Témoin du passé, pièce incontournable du patrimoine chellois, elle fut fréquentée par Armand Lanoux.

L’architecture…

L’ensemble est travaillé en béton sculpté façon bois, très en vogue à l’époque, grand principe de construction du jardin romantique des Buttes Chaumont à Paris, et que l’on retrouve dans certains endroits de Chelles comme sur la façade du "chalet de la petite vitesse" entre autre.

Le jardin

Le jardin, de style « anglo-chinois », comporte de beaux arbres et date également de l’origine de la construction. Inspirée par les oeuvres de Fragonard, Hubert Robert, ainsi que par les jardins de Rome, il est orné de « fabriques » en ciment armé dans le style de celui des Buttes-Chaumont à Paris et d'éléments architecturaux d’agrément ou utilitaires : grottes avec terrasse d’où jaillit une source alimentant un bassin, pigeonnier sur rocaille, chapelle surmontée d’un belvédère et d’une passerelle, venus sortant du bain, copie d’une statue du XVIIIe siècle « La baigneuse de Christophe » par Allegrain Gabriel Christophe.
La palette végétale est typique de l’époque de la création avec ifs, troènes, forsythias, houx, buis, aucuba, lilas. Des arbres remarquables sont également présents : deux cèdres du Liban dont l’un est centenaire, côté villa et pigeonnier et un séquoidendron giganteum, côté boulevard Chilpéric.


Du 01/01 au 31/12 de 9h à 19h30.
Fermé le dimanche.
Lundi : 9h-12h30, 14h-17h30
Mardi : 9h-12h30, 14h-19h30
Mercredi : 9h-12h30, 14h-17h30
Jeudi : fermeture au public jusqu'à 14h, Ouverture de 14h-17h30
Vendredi : 9h-12h30, 14h-17h30
Samedi : 9h-12h30 (uniquement l'Espace Services et le Service Urbanisme).


Mis à jour le 01/07/2021

Par Paris - Vallée de la Marne Tourisme

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