Le banquet de la Sainte-Cécile

Présentation
Fanfaronnade.
Par Jean-Pierre Bodin et François Chattot
En grand conteur, Jean-Pierre Bodin témoigne avec humour et délice du quotidien de l’harmonie municipale de son village.
Enfant, il fréquentait ses répétitions hebdomadaires et son banquet annuel à l’organisation réglée comme du papier à musique.
Sur scène, le voilà attablé, un "canon" de rouge à la main, pour croquer ces musiciens avec drôlerie et tendresse : le petit qui disparaît derrière la grosse caisse, le tire-au-flanc qui fait semblant de jouer ou le charcutier qui transforme la répét’ en gueuleton.
Après plus de mille représentations partout en France, ce spectacle culte est toujours aussi réjouissant. Un régal pour les zygomatiques !
Ce qu'ils en pensent :
"C'est du vécu, c'est de l’humain ! Attention bonheur. On quitte les lieux à regret, des étoiles plein les yeux […] Des bouffées de rire flottent dans l’air."
— LE SOIR
"Jean-Pierre Bodin a su brosser un tableau de la vie en province, dont le style oscille entre la gentillesse rieuse d’un Doisneau et la rosserie énorme d’un Dubout."
— LES ÉCHOS
Fanfaronnade.
Par Jean-Pierre Bodin et François Chattot
En grand conteur, Jean-Pierre Bodin témoigne avec humour et délice du quotidien de l’harmonie municipale de son village.
Enfant, il fréquentait ses répétitions hebdomadaires et son banquet annuel à l’organisation réglée comme du papier à musique.
Sur scène, le voilà attablé, un "canon" de rouge à la main, pour croquer ces musiciens avec drôlerie et tendresse : le petit qui disparaît derrière la grosse caisse, le tire-au-flanc qui fait semblant de jouer ou le charcutier qui transforme la répét’ en gueuleton.
Après plus de mille représentations partout en France, ce spectacle culte est toujours aussi réjouissant. Un régal pour les zygomatiques !
Ce qu'ils en pensent :
"C'est du vécu, c'est de l’humain ! Attention bonheur. On quitte les lieux à regret, des étoiles plein les yeux […] Des bouffées de rire flottent dans l’air."
— LE SOIR
"Jean-Pierre Bodin a su brosser un tableau de la vie en province, dont le style oscille entre la gentillesse rieuse d’un Doisneau et la rosserie énorme d’un Dubout."
— LES ÉCHOS