La boutique fantasque
Présentation
En Italie, l’art rime avec la fantaisie. Rien n’est vraiment classique, rectiligne, symétrique ou droit, car tout respire le baroque, l’improvisation et la liberté.
Ottorino Respighi fait partie des très grands compositeurs italiens du début du XXe siècle, encore assez méconnu en France. Merveilleux orchestrateur,
c’est surtout dans les grandes formes (opéras, ballets, musique symphonique et concertos) que son talent se déploie le mieux.
Un véritable bijou ouvre ce programme : La Boutique fantasque, une musique à danser qu’il a composée en 1919 pour les Ballets russes de Serge de Diaghilev, avec comme complices le chorégraphe Léonide Massine et le peintre André Derain, l’une des grandes figures du « fauvisme ». Le résultat est plein d’esprit et de poésie, varié et pétillant à l’image de la vie ! La partition s’inspire de la musique des Péchés de vieillesse de Rossini et nous plonge dans l’univers de la boutique d’un fabricant d’automates. Deux poupées tombent amoureuses et dansent le cancan : voilà un début d’histoire qui ne manque pas de piquant !
C’est toujours un tour de force que de relever le défi d’interpréter cette partition. Un défi qui n’effraie aucunement Sayako Shoji, une prodigieuse violoniste japonaise qui a remporté le Premier Prix du fameux concours Paganini de Gênes en 1999.
Distribution :
Avec l’Orchestre national d’Île-de-France
Direction Joseph Bastian
Violon Sayaka Shoji
En Italie, l’art rime avec la fantaisie. Rien n’est vraiment classique, rectiligne, symétrique ou droit, car tout respire le baroque, l’improvisation et la liberté.
Ottorino Respighi fait partie des très grands compositeurs italiens du début du XXe siècle, encore assez méconnu en France. Merveilleux orchestrateur,
c’est surtout dans les grandes formes (opéras, ballets, musique symphonique et concertos) que son talent se déploie le mieux.
Un véritable bijou ouvre ce programme : La Boutique fantasque, une musique à danser qu’il a composée en 1919 pour les Ballets russes de Serge de Diaghilev, avec comme complices le chorégraphe Léonide Massine et le peintre André Derain, l’une des grandes figures du « fauvisme ». Le résultat est plein d’esprit et de poésie, varié et pétillant à l’image de la vie ! La partition s’inspire de la musique des Péchés de vieillesse de Rossini et nous plonge dans l’univers de la boutique d’un fabricant d’automates. Deux poupées tombent amoureuses et dansent le cancan : voilà un début d’histoire qui ne manque pas de piquant !
C’est toujours un tour de force que de relever le défi d’interpréter cette partition. Un défi qui n’effraie aucunement Sayako Shoji, une prodigieuse violoniste japonaise qui a remporté le Premier Prix du fameux concours Paganini de Gênes en 1999.
Distribution :
Avec l’Orchestre national d’Île-de-France
Direction Joseph Bastian
Violon Sayaka Shoji
Orchestre : tarif plein 41€ / tarif réduit 35€
Balcon : tarif plein 35€ / tarif réduit 30€.
Samedi 14 décembre 2024 à 20h30.