Aline Bouvy : Le prix du ticket
Présentation
EXPOSITION
« La fête a aussi son décor, son architecture, ses codes, ses apparats, ses costumes et, souvent, son système hiérarchique bien spécifique. » - Aline Bouvy
Co-produite avec Triangle-Astérides, Centre d’art contemporain d’intérêt national installé à Marseille, Le prix du ticket est la première exposition monographique de l’artiste Aline Bouvy (née en 1974 en Belgique, elle vit et travaille entre la Belgique et le Luxembourg). Son titre joue sur le double sens du mot prix : ce dont il faut s’acquitter financièrement pour entrer dans un espace de loisir, de culture ou de fête, mais également ce qu’il en coûte, ce que l’on doit sacrifier. Pour cette exposition, l’artiste s’intéresse à l’histoire des parcs d’attractions et des parcs à thèmes, et plus largement aux idéologies que véhiculent les architectures des loisirs.
En France ceux-ci font irruption dans les années 1980, et sont les héritiers des traditionnelles fêtes foraines ainsi que des expositions universelles et coloniales. Le prix du ticket invite à expérimenter plusieurs « attractions » en déambulant dans un environnement complètement blanc, habité par des installations, des costumes et une bande-son. L’exposition convoque des phénomènes de hantise, de distorsion, d’angoisse ou d’humour par une monochromie extrême : une cruelle fiction blanche.
EXPOSITION
« La fête a aussi son décor, son architecture, ses codes, ses apparats, ses costumes et, souvent, son système hiérarchique bien spécifique. » - Aline Bouvy
Co-produite avec Triangle-Astérides, Centre d’art contemporain d’intérêt national installé à Marseille, Le prix du ticket est la première exposition monographique de l’artiste Aline Bouvy (née en 1974 en Belgique, elle vit et travaille entre la Belgique et le Luxembourg). Son titre joue sur le double sens du mot prix : ce dont il faut s’acquitter financièrement pour entrer dans un espace de loisir, de culture ou de fête, mais également ce qu’il en coûte, ce que l’on doit sacrifier. Pour cette exposition, l’artiste s’intéresse à l’histoire des parcs d’attractions et des parcs à thèmes, et plus largement aux idéologies que véhiculent les architectures des loisirs.
En France ceux-ci font irruption dans les années 1980, et sont les héritiers des traditionnelles fêtes foraines ainsi que des expositions universelles et coloniales. Le prix du ticket invite à expérimenter plusieurs « attractions » en déambulant dans un environnement complètement blanc, habité par des installations, des costumes et une bande-son. L’exposition convoque des phénomènes de hantise, de distorsion, d’angoisse ou d’humour par une monochromie extrême : une cruelle fiction blanche.
Entrée libre.
Du 06/10/2024 au 26/01/2025
Ouverture le mercredi, jeudi et vendredi de 14h à 2h20. Le samedi et dimanche de 14h à 19h30.
Fermé lundi et mardi.
Vernissage le samedi 5 octobre à 16h.