Virginie Billault-Toquin / Peintre et Sculpteur
Présentation
Virginie une artiste peintre et sculpteur connectée à la vie.
Elle travaille sur le thème de la nature : les animaux, la forêt sont ses sources d’inspiration. Elle les explore au travers de différents matériaux : argile, plâtre, bois, tissus, bronze, verre, acrylique.
Née à Saint-Pierre-lès-Nemours en Seine-et-Marne en 1967.
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris (Section Sculpture).
Son travail sur la forêt...
Virginie considère la forêt comme un endroit mystérieux,
On entre dans cette dernière par des chemins sinueux qui
nous mènent, et parfois nous perdent, dans une infime profondeur, sombre et lugubre.
De la matière projetée sur la toile par des mouvements rapides et spontanés naissent des silhouettes végétales, immenses gaulis sauvage et désordonné. Branches et troncs se croisent en un fatras de lignes filtrant la lumière.
Le faisceau solaire, perçant les frondaisons, devient le seul repère et le seul espoir de sortie. Une sorte de réplique inattendue de la nature humaine. Et tout ce qui en fait, d’une certaine manière, son indicible richesse...
Son travail sur les animaux...
Virginie ne cherche pas à reproduire en détails les animaux mais plutôt exprimer une attitude, un comportement, un caractère typique de l’animal dans son état sauvage et instinctif.
Virginie une artiste peintre et sculpteur connectée à la vie.
Elle travaille sur le thème de la nature : les animaux, la forêt sont ses sources d’inspiration. Elle les explore au travers de différents matériaux : argile, plâtre, bois, tissus, bronze, verre, acrylique.
Née à Saint-Pierre-lès-Nemours en Seine-et-Marne en 1967.
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris (Section Sculpture).
Son travail sur la forêt...
Virginie considère la forêt comme un endroit mystérieux,
On entre dans cette dernière par des chemins sinueux qui
nous mènent, et parfois nous perdent, dans une infime profondeur, sombre et lugubre.
De la matière projetée sur la toile par des mouvements rapides et spontanés naissent des silhouettes végétales, immenses gaulis sauvage et désordonné. Branches et troncs se croisent en un fatras de lignes filtrant la lumière.
Le faisceau solaire, perçant les frondaisons, devient le seul repère et le seul espoir de sortie. Une sorte de réplique inattendue de la nature humaine. Et tout ce qui en fait, d’une certaine manière, son indicible richesse...
Son travail sur les animaux...
Virginie ne cherche pas à reproduire en détails les animaux mais plutôt exprimer une attitude, un comportement, un caractère typique de l’animal dans son état sauvage et instinctif.
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