Le Parc culturel de Rentilly Michel-Chartier côté nature
Présentation
Flâner dans le parc à l’anglaise, admirer la perspective à la française ou déambuler dans les allées de la forêt... Le Parc culturel de Rentilly Michel-Chartier s'offre à la promenade sur 50 hectares.
Cèdre de l’Atlas, séquoia géant, ginkgo biloba, hêtre pourpre… et bien d'autres se côtoient dans le parc à l’anglaise du domaine de Rentilly.
C’est au début du XIXème siècle (autour de 1819) que le parc à l’anglaise se dessine sous l’égide du propriétaire de l’époque, le Consul général des Pays-Bas Isaac Thuret. Des promenades se dessinent peu à peu dans tout le parc qui garde une disposition en étoile tandis que de l’autre côté du château, on conserve une disposition très classique. Des essences souvent rares sont plantées à cette époque.
Au fil des siècles et des propriétaires du domaine, le visage du parc se transforme. Au XXème siècle, la famille Menier commence une densification de la végétation, témoignant d’une volonté de refermer le parc et de le « protéger » des regards extérieurs.
Depuis le rachat du domaine par la Communauté d’Agglomération de Marne et Gondoire (à partir de 2001), celle-ci met en œuvre un programme de conservation et de restauration du patrimoine. Ainsi, en juillet 2003, le parc à l’anglaise fait l’objet de travaux : 850 arbres sont plantés (espèces ornementales principalement) et les cheminements sont réhabilités.
Située dans le prolongement du château, la perspective centrale est longue de 350 mètres et s’étend jusqu’au bassin de Diane.
La construction des trois bassins en cascades, à l’arrière du château, a débuté en 1865 avec la famille André. Ils sont réalisés dans un matériau très moderne pour l’époque : le béton aggloméré.
En 2007, la Communauté d’Agglomération lance une phase de réhabilitation de la perspective à la française et des bassins, avec la remise en eaux de ces derniers.
Les travaux sont axés sur un important programme de plantations tout en conservant, autant que possible, les arbres existants. Il s’agit de rénover l’alignement des marronniers, dans le prolongement des bassins, en y ajoutant de nouveaux arbres de grande taille (des érables) ; il en est de même pour les alignements de tilleuls qui se voient étoffés de nouvelles plantations (54 centenaires étant conservés). Les travaux comprennent également la remise en état des chemins.
En partant vers l'ouest, vous entrez dans la forêt. Historiquement, elle est un lieu de chasse pour la famille Menier.
En décembre 1999, la tempête qui s’abat sur la région cause de nombreux dommages puisque près d’un tiers de la surface de la forêt est dévastée, et les arbres couchés. Il faudra à la Communauté d’Agglomération la mise en œuvre d’importants travaux de sécurisation au moment du rachat du domaine au début des années 2000.
À l’automne 2004, une phase d’aménagement débute afin de dégager les allées et d’ouvrir la clairière. Une seconde phase, cette fois de plantation, a lieu à l’hiver 2005. Les clairières sont délimitées par des rangées de noisetiers, d’ifs, de houx et de troènes ; des essences forestières sont également plantées afin de remplacer les arbres abîmés par la tempête.
Un livret sur les arbres du parc, disponible au centre de ressources documentaires, permet au promeneur de faire connaissance avec les différentes essences d’arbres présentes dans le parc.
Flâner dans le parc à l’anglaise, admirer la perspective à la française ou déambuler dans les allées de la forêt... Le Parc culturel de Rentilly Michel-Chartier s'offre à la promenade sur 50 hectares.
Cèdre de l’Atlas, séquoia géant, ginkgo biloba, hêtre pourpre… et bien d'autres se côtoient dans le parc à l’anglaise du domaine de Rentilly.
C’est au début du XIXème siècle (autour de 1819) que le parc à l’anglaise se dessine sous l’égide du propriétaire de l’époque, le Consul général des Pays-Bas Isaac Thuret. Des promenades se dessinent peu à peu dans tout le parc qui garde une disposition en étoile tandis que de l’autre côté du château, on conserve une disposition très classique. Des essences souvent rares sont plantées à cette époque.
Au fil des siècles et des propriétaires du domaine, le visage du parc se transforme. Au XXème siècle, la famille Menier commence une densification de la végétation, témoignant d’une volonté de refermer le parc et de le « protéger » des regards extérieurs.
Depuis le rachat du domaine par la Communauté d’Agglomération de Marne et Gondoire (à partir de 2001), celle-ci met en œuvre un programme de conservation et de restauration du patrimoine. Ainsi, en juillet 2003, le parc à l’anglaise fait l’objet de travaux : 850 arbres sont plantés (espèces ornementales principalement) et les cheminements sont réhabilités.
Située dans le prolongement du château, la perspective centrale est longue de 350 mètres et s’étend jusqu’au bassin de Diane.
La construction des trois bassins en cascades, à l’arrière du château, a débuté en 1865 avec la famille André. Ils sont réalisés dans un matériau très moderne pour l’époque : le béton aggloméré.
En 2007, la Communauté d’Agglomération lance une phase de réhabilitation de la perspective à la française et des bassins, avec la remise en eaux de ces derniers.
Les travaux sont axés sur un important programme de plantations tout en conservant, autant que possible, les arbres existants. Il s’agit de rénover l’alignement des marronniers, dans le prolongement des bassins, en y ajoutant de nouveaux arbres de grande taille (des érables) ; il en est de même pour les alignements de tilleuls qui se voient étoffés de nouvelles plantations (54 centenaires étant conservés). Les travaux comprennent également la remise en état des chemins.
En partant vers l'ouest, vous entrez dans la forêt. Historiquement, elle est un lieu de chasse pour la famille Menier.
En décembre 1999, la tempête qui s’abat sur la région cause de nombreux dommages puisque près d’un tiers de la surface de la forêt est dévastée, et les arbres couchés. Il faudra à la Communauté d’Agglomération la mise en œuvre d’importants travaux de sécurisation au moment du rachat du domaine au début des années 2000.
À l’automne 2004, une phase d’aménagement débute afin de dégager les allées et d’ouvrir la clairière. Une seconde phase, cette fois de plantation, a lieu à l’hiver 2005. Les clairières sont délimitées par des rangées de noisetiers, d’ifs, de houx et de troènes ; des essences forestières sont également plantées afin de remplacer les arbres abîmés par la tempête.
Un livret sur les arbres du parc, disponible au centre de ressources documentaires, permet au promeneur de faire connaissance avec les différentes essences d’arbres présentes dans le parc.
Accès libre.
Toute l'année, tous les jours.
Du 15 mars au 31 octobre, de 9h à 20h
du 1er novembre au 14 mars, de 9h à 17h30.
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