Église de Notre-Dame-de-Pitié
Présentation
L'église de l'Assomption est consacrée à Notre-Dame de Pitié (classée le 23 novembre 1946). Elle aurait été construite entre 1177 et 1225 sous Louis VII le Jeune, en même temps que le village fortifié.
Du clocher-tour il ne reste que la façade sud et la tourelle avec meurtrières qui abrite l'escalier. La nef devait se prolonger au delà du porche actuel comme le laissent voir les départs d'ogive. La girouette à tête de cochon qui surmonte la nef de l'église rappellerait les épidémies de peste.
A gauche du portail est posé sur le sol un banc des morts, pierre sur laquelle on déposait le défunt avant les funérailles.
Le mur ouest, actuellement non enduit à l'intérieur, laisse apparaître la trace d'un arc en plein cintre muré dans lequel s'ouvre le portail principal. Au dessus, un oculus orné d'un vitrail.
Le mur sud s'ouvre sur un petit collatéral au travers de plusieurs ogives.
Ce qui frappe en entrant dans cette église c'est l'imposant retable prolongé de boiseries ornées de sept toiles figurant des scènes de la vie de la Vierge Marie, de sainte Marthe et de saint Vincent (fin XVIIe siècle). L'ensemble des toiles a été inscrit en 1977. L'autel et la chaire en bois sculpté (classée en 1944) sont de l'ébéniste Grenot (1786).
Dans le choeur, un aigle-lutrin du XVIIe siècle en bois doré, de style Louis XIV (ISMH 1977).
Sur le mur sud de la nef, deux statues de Vierge à l'enfant, l'une en pierre polychrome d'époque indéterminée mais de facture primitive, l'autre du XVIIe siècle, en bois enduit et peint (ISMH en 1977). Un peu plus bas dans la nef, dans une arcade donnant sur le collatéral, un Christ en bois polychrome assez sombre.
Dans le bas-côté, la chapelle de la Vierge dont l'autel est dominé par une Piéta très entourée. L'ensemble fut offert par la reine Marie-Amélie, épouse du roi Louis-Philippe, vers 1837.
L'église de l'Assomption est consacrée à Notre-Dame de Pitié (classée le 23 novembre 1946). Elle aurait été construite entre 1177 et 1225 sous Louis VII le Jeune, en même temps que le village fortifié.
Du clocher-tour il ne reste que la façade sud et la tourelle avec meurtrières qui abrite l'escalier. La nef devait se prolonger au delà du porche actuel comme le laissent voir les départs d'ogive. La girouette à tête de cochon qui surmonte la nef de l'église rappellerait les épidémies de peste.
A gauche du portail est posé sur le sol un banc des morts, pierre sur laquelle on déposait le défunt avant les funérailles.
Le mur ouest, actuellement non enduit à l'intérieur, laisse apparaître la trace d'un arc en plein cintre muré dans lequel s'ouvre le portail principal. Au dessus, un oculus orné d'un vitrail.
Le mur sud s'ouvre sur un petit collatéral au travers de plusieurs ogives.
Ce qui frappe en entrant dans cette église c'est l'imposant retable prolongé de boiseries ornées de sept toiles figurant des scènes de la vie de la Vierge Marie, de sainte Marthe et de saint Vincent (fin XVIIe siècle). L'ensemble des toiles a été inscrit en 1977. L'autel et la chaire en bois sculpté (classée en 1944) sont de l'ébéniste Grenot (1786).
Dans le choeur, un aigle-lutrin du XVIIe siècle en bois doré, de style Louis XIV (ISMH 1977).
Sur le mur sud de la nef, deux statues de Vierge à l'enfant, l'une en pierre polychrome d'époque indéterminée mais de facture primitive, l'autre du XVIIe siècle, en bois enduit et peint (ISMH en 1977). Un peu plus bas dans la nef, dans une arcade donnant sur le collatéral, un Christ en bois polychrome assez sombre.
Dans le bas-côté, la chapelle de la Vierge dont l'autel est dominé par une Piéta très entourée. L'ensemble fut offert par la reine Marie-Amélie, épouse du roi Louis-Philippe, vers 1837.
Accès libre.