Concert : Madeleine & Salomon
Présentation
Madeleine et Salomon c’est la rencontre de deux artistes aux répertoires musicaux bien affirmés : le pianiste compositeur Alexandre Saada et la vocaliste flûtiste Clotilde Rullaud.
Ils décident de développer un univers sacré, minimaliste, empreint de poésie impressionniste, pour un hommage aux chanteuses de jazz américaines engagées. Cet hommage s’enrichit de scènes d’improvisation libres. Madeleine chante, Salomon est au piano. Un duo à l’élégance naturelle qui fait du « less is more » son mot d’ordre.
Dans leur magistral album “Eastern Spring”, revisitant la pop-folk orientale et militante des années 60 et 70, le duo redonne vie aux chansons de l’Orient, et à l’espoir d’une jeunesse alors assoiffée de liberté. Politique, érotisme… tout vibre, porté par une puissante émotion.
Après le single Ma Fatsh Leah, Madeleine & Salomon dévoilent une reprise d’une chanson du groupe pop des années 70 au Liban, la Bendaly Family, accompagnée d’un clip qui compile des images d’archives de l’INA provenant du Liban, d’Iran, d’Israël, de Turquie et du Maroc, la plupart des pays du bassin méditerranéen honorés dans le disque. Ces images témoignent d’«une société tiraillée par une jeunesse partie à l’étranger chercher une identité et revenue au pays avec des rêves de changement qui se heurtent à une société restée profondément traditionaliste sous ses airs émancipés». précise la note d’intention». «On passe de la couleur au noir et blanc, d’un pays à un autre, d’un peuple empreint de traditions parfois cloisonnantes à une jeunesse en quête d’épanouissement et d’expériences nouvelles» Après l’album A Woman’s Journey qui rendait hommage aux grandes chanteuses américaines, Clotilde Rullaud et Alexandre Saada se sont lancés dans un immense travail de recherche, de retranscription et d’adaptation. Eastern Spring nous embarque à Beyrouth (Bendaly Family), Istanbul (Selda Bagcan), Rabat (les Frères Mégri), Tel Aviv (Shalom Hanoch) ou Le Caire (Al Massrieen), avec des chansons et des musiques révolutionnaires, qui à leur époque, reflétaient des sociétés tiraillées entre deux mondes.
Madeleine et Salomon c’est la rencontre de deux artistes aux répertoires musicaux bien affirmés : le pianiste compositeur Alexandre Saada et la vocaliste flûtiste Clotilde Rullaud.
Ils décident de développer un univers sacré, minimaliste, empreint de poésie impressionniste, pour un hommage aux chanteuses de jazz américaines engagées. Cet hommage s’enrichit de scènes d’improvisation libres. Madeleine chante, Salomon est au piano. Un duo à l’élégance naturelle qui fait du « less is more » son mot d’ordre.
Dans leur magistral album “Eastern Spring”, revisitant la pop-folk orientale et militante des années 60 et 70, le duo redonne vie aux chansons de l’Orient, et à l’espoir d’une jeunesse alors assoiffée de liberté. Politique, érotisme… tout vibre, porté par une puissante émotion.
Après le single Ma Fatsh Leah, Madeleine & Salomon dévoilent une reprise d’une chanson du groupe pop des années 70 au Liban, la Bendaly Family, accompagnée d’un clip qui compile des images d’archives de l’INA provenant du Liban, d’Iran, d’Israël, de Turquie et du Maroc, la plupart des pays du bassin méditerranéen honorés dans le disque. Ces images témoignent d’«une société tiraillée par une jeunesse partie à l’étranger chercher une identité et revenue au pays avec des rêves de changement qui se heurtent à une société restée profondément traditionaliste sous ses airs émancipés». précise la note d’intention». «On passe de la couleur au noir et blanc, d’un pays à un autre, d’un peuple empreint de traditions parfois cloisonnantes à une jeunesse en quête d’épanouissement et d’expériences nouvelles» Après l’album A Woman’s Journey qui rendait hommage aux grandes chanteuses américaines, Clotilde Rullaud et Alexandre Saada se sont lancés dans un immense travail de recherche, de retranscription et d’adaptation. Eastern Spring nous embarque à Beyrouth (Bendaly Family), Istanbul (Selda Bagcan), Rabat (les Frères Mégri), Tel Aviv (Shalom Hanoch) ou Le Caire (Al Massrieen), avec des chansons et des musiques révolutionnaires, qui à leur époque, reflétaient des sociétés tiraillées entre deux mondes.
