Église Notre Dame de Kazan
Présentation
L'ermitage de l'icône de Notre Dame de Kazan à Moisenay est un lieu unique sur la carte de la diaspora russe en France. Unique sur les plans historique, esthétique, écologique et spirituel. Elle bénéficie du label "Architecture contemporaine remarquable".
Fondé par des émigrés russes de la première vague (1918-1921), cet ermitage a accueilli pendant longtemps non seulement des moines, mais aussi des émigrés confrontés à la solitude, la pauvreté et la maladie, qui trouvaient entre ces murs refuge et chaleur humaine.
Édifiée d'après le projet original de l'archimandrite Euthyme (Vendt), l'église du monastère a été entièrement peinte par Grégoire (Krug). La dénomination communément acceptée d' "Andreï Roublev de l'émigration russe" s'est vue confirmée, entre autre, par la tenue d'un colloque international consacré à son œuvre à la Sorbonne (1999) ainsi que par des nombreuses expositions de ses œuvres (la dernière exposition ayant été tenue dans la Cathédrale de la Trinité à Paris en 2020).
Situé en pleine nature, l'ermitage est un lieu de calme et de silence naturels, permettant de retrouver la paix intérieure. Il reste en outre accessible aux Parisiens qui s'y rendent régulièrement.
C'est cependant la présence humaine, et plus précisément la présence ecclésiastique, qui donne tout leur sens aux atouts historiques, esthétiques et écologiques de l'ermitage. L'établissement permanent du hiéromoine Ambroise (Nicoviotis) a permis la constitution d'une paroisse locale. Celle-ci est internationale, composée de Français, et de Grecs, Russes, Bulgares, Albanais ou Africains d'origine. La paroisse locale ne fait que croître en nombre, transformant l'ermitage en ce que l'on pourrait par analogie appeler une réserve spirituelle.
L'ermitage de l'icône de Notre Dame de Kazan à Moisenay est un lieu unique sur la carte de la diaspora russe en France. Unique sur les plans historique, esthétique, écologique et spirituel. Elle bénéficie du label "Architecture contemporaine remarquable".
Fondé par des émigrés russes de la première vague (1918-1921), cet ermitage a accueilli pendant longtemps non seulement des moines, mais aussi des émigrés confrontés à la solitude, la pauvreté et la maladie, qui trouvaient entre ces murs refuge et chaleur humaine.
Édifiée d'après le projet original de l'archimandrite Euthyme (Vendt), l'église du monastère a été entièrement peinte par Grégoire (Krug). La dénomination communément acceptée d' "Andreï Roublev de l'émigration russe" s'est vue confirmée, entre autre, par la tenue d'un colloque international consacré à son œuvre à la Sorbonne (1999) ainsi que par des nombreuses expositions de ses œuvres (la dernière exposition ayant été tenue dans la Cathédrale de la Trinité à Paris en 2020).
Situé en pleine nature, l'ermitage est un lieu de calme et de silence naturels, permettant de retrouver la paix intérieure. Il reste en outre accessible aux Parisiens qui s'y rendent régulièrement.
C'est cependant la présence humaine, et plus précisément la présence ecclésiastique, qui donne tout leur sens aux atouts historiques, esthétiques et écologiques de l'ermitage. L'établissement permanent du hiéromoine Ambroise (Nicoviotis) a permis la constitution d'une paroisse locale. Celle-ci est internationale, composée de Français, et de Grecs, Russes, Bulgares, Albanais ou Africains d'origine. La paroisse locale ne fait que croître en nombre, transformant l'ermitage en ce que l'on pourrait par analogie appeler une réserve spirituelle.
Accès libre.
Toute l'année, tous les dimanches de 10h30 à 12h30.
Visites possibles du monastère sur rendez-vous.
Ouverture exceptionnelle à l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine (en septembre).