Le tourisme au féminin, rencontre avec 3 professionnelles qui font briller la Seine-et-Marne

À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, nous vous présentons 3 professionnelles du tourisme aux personnalités éclectiques, qui œuvrent pour faire rayonner les richesses de la Seine-et-Marne.

Valérie Lafourcade
Responsable événementielChâteau de Vaux-le-Vicomte

Comment êtes-vous arrivée dans ce château emblématique du département ? Dites-nous en plus sur votre parcours.

J’ai commencé ma carrière chez Air France en tant que commerciale. Après une pause précieuse pour élever mes deux enfants, j’ai repris mon activité comme responsable commerciale dans un tour-opérateur. Puis, une opportunité exceptionnelle s’est présentée : intégrer le Château de Vaux-le-Vicomte, réunissant ainsi plusieurs passions qui m’animent – l’histoire, le contact humain et la créativité.

J’y ai d’abord occupé le poste de chargée du développement des publics, un rôle qui m’a permis de travailler sur la promotion du château auprès de différents types de visiteurs et de développer des actions pour élargir son rayonnement. Cette première expérience au sein de Vaux-le-Vicomte a renforcé mon attachement au lieu et m’a donné une vision globale de son attractivité.

En 2009, j’ai eu une nouvelle opportunité au sein de Vaux-le-Vicomte : celle d’occuper le poste de responsable événementiel. J’ai immédiatement adoré cet univers, riche en diversité et en défis. Organiser des tournages – qu’ils soient pour le cinéma, la publicité ou les séries –, coordonner des prises de vue mode, orchestrer des dîners de gala, des lancements de produits, des visites privilèges et des mariages d’exception… Chaque événement est unique et permet de faire vivre le château autrement, tout en contribuant à son rayonnement et à sa préservation.

Le château de Vaux-le-Vicomte est un château privé. En quoi l’événementiel et le mécénat sont-ils importants ?

En tant que monument privé, l’événementiel et le mécénat sont essentiels pour assurer la préservation du château et continuer à faire vivre son histoire. Chaque événement organisé contribue à l’entretien du domaine et permet d’offrir aux visiteurs une expérience toujours plus immersive. Le mécénat, quant à lui, joue un rôle clé dans la restauration et la sauvegarde de ce patrimoine d’exception.

Selon vous, quelle est l’importance du regard féminin dans le développement du tourisme et de l’accueil des visiteurs ?

Pour moi, une visite réussie est avant tout une expérience émotionnelle. Ce n’est pas seulement la découverte d’un lieu d’exception, c’est aussi une ambiance, une sensation, un moment où tout s’accorde pour créer un souvenir inoubliable. Un cadre magnifique ne suffit pas : il prend tout son sens lorsqu’il est associé à de belles rencontres, un accueil chaleureux, un moment de partage autour d’une belle table, d’un bon repas.

À Vaux-le-Vicomte, ce qui marque le plus les visiteurs, c’est cette harmonie parfaite entre le château et son jardin, une alchimie entre l’architecture et la nature qui les transporte dans une autre époque. Mais ce qui rend cette découverte unique, ce sont aussi les émotions qu’elle procure : l’émerveillement devant les perspectives infinies des jardins, la surprise d’une anecdote racontée au détour d’un salon, le plaisir d’un repas qui prolonge l’instant et ancre encore davantage l’expérience dans la mémoire.

Un regard féminin apporte peut-être une attention particulière aux détails, à l’harmonie et aux émotions. Il ne s’agit pas seulement de raconter une histoire, mais de la faire ressentir, de la faire vivre. Chaque visiteur est unique : certains sont fascinés par l’histoire, d’autres découvrent le château à travers le prisme du cinéma ou de l’art. Mon rôle est de tisser des passerelles entre ces univers, d’offrir à chacun un moment suspendu, une parenthèse hors du temps, où tout contribue à une émotion forte et sincère.

Avez-vous rencontré des célébrités ou des figures politiques ? Une anecdote à nous raconter ?

Oui, régulièrement ! Vaux-le-Vicomte attire de nombreuses personnalités pour des événements privés et des tournages.

Je garde un souvenir mémorable du tournage de RAID Dingue avec Dany Boon, toujours prêt à faire une blague et à détendre l’atmosphère. Un autre moment hors du temps : Johnny Depp, en costume de Louis XV sur le tournage de Jeanne du Barry, jouant quelques accords de guitare entre deux prises. Le contraste entre son habit d’époque et la modernité de la scène offrait une scène hors du temps, presque irréelle.

Mais ce qui me transporte à chaque fois, ce sont les tournages de films et de séries historiques. L’opulence des décors, le nombre impressionnant de comédiens et de figurants en costume, la précision des mises en scène… tout cela nous projette dans une autre époque. Lorsqu’une scène de « Versailles », « Marie-Antoinette » ou « Jeanne du Barry » est en train de se tourner, on a la sensation d’être spectateur de l’Histoire. Comme si les personnages avaient traversé les siècles pour reprendre naturellement leur place au sein du château.

Le plus troublant, c’est de se retrouver en civil, en pleine coordination logistique, au milieu de ces tableaux vivants. L’illusion est si parfaite que nous avons parfois l’impression d’être des intrus dans un décor où tout semble authentique.

Et puis, il y a ces moments totalement atypiques, où le château devient un terrain d’expérimentation inattendu. Tourner avec un cheval à l’intérieur des salons, voir des éléphants évoluer dans les jardins, ou encore circuler en voiture électrique dans le Grand Salon, ce sont des scènes incroyables qui redéfinissent l’espace et montrent à quel point Vaux-le-Vicomte peut se prêter à toutes les audaces.

Vaux-le-Vicomte n’est pas seulement un décor, c’est un lieu qui vibre encore aujourd’hui, qui fascine et qui continue d’inspirer ceux qui le traversent, qu’ils soient visiteurs, cinéastes ou artistes.

Quel est votre endroit préféré du château ?

Le Grand Salon est sans doute l’un des endroits que j’affectionne le plus à Vaux-le-Vicomte. J’aime son élégance épurée, son décor minéral qui lui confère une grande liberté d’adaptation. J’ai la chance de le voir évoluer constamment, transformé au gré des événements et des mises en scène. Chaque occasion lui apporte une nouvelle atmosphère, révélant une autre facette du château, tantôt majestueuse, tantôt intime.

Mais ce qui me fascine encore plus, c’est la vue qu’il offre sur les jardins. Depuis ce point central, le regard embrasse toute la perspective imaginée par Le Nôtre, où l’architecture et la nature se fondent en parfaite harmonie.

Elena Le Gall
Directrice deMeaux Marne Ourcq Tourisme

Vous êtes Directrice de l’office de tourisme depuis 2020, comment êtes-vous arrivée à Meaux, et quel a été votre parcours ?

Je suis née en Seine-et-Marne, mais j’ai grandi en Bretagne, la région de mes parents. ce sont les hasards de la vie qui m’ont fait revenir dans le département de ma naissance.

J’ai fait des études d’histoire et d’histoire de l’art avant de me diriger vers un master gestion des établissements culturels. C’est la question de la transmission qui m’intéressait particulièrement, je me suis donc naturellement tournée vers la médiation. J’ai débuté ma vie professionnelle dans le domaine de l’art contemporain, avant de devenir directrice adjointe au musée du théâtre forain à Artenay, dans le Loiret. Après l’obtention du concours d’attachée territoriale, c’est à Meaux, au musée de la Grande Guerre que j’ai pris les fonctions de responsable du service des publics en 2014, puis de directrice en 2018.

En 2020, Jean-François Copé m’a proposé de prendre la tête de l’office de tourisme du Pays de Meaux dans le cadre du projet de fusion touristique avec la communauté de communes du Pays de l’Ourcq. Meaux Marne Ourcq Tourisme est ainsi né en 2022. C’était un projet stimulant qui me permettait de déployer une nouvelle politique touristique sur le territoire tout en continuant à faire rayonner le musée de la Grande Guerre auquel je suis toujours très attachée.

Vous avez été également Directrice du Musée de la Grande Guerre de Meaux, dites-nous comment donner envie au public de visiter ce lieu de mémoire ?

Dans le contexte actuel de tension internationale où la guerre se joue à nos frontières, il apparaît d’autant plus important de se replonger dans l’Histoire pour en tirer des leçons afin de construire l’avenir. Comme dit Jean-Pierre Verney, dont la collection est à l’origine du musée de la Grande Guerre, « nous vivons encore aujourd’hui les pieds dans les cendres chaudes de la Première Guerre mondiale ». Les sujets qui ont divisés les nations à l’époque sont encore d’actualité 100 ans plus tard. Il est essentiel de se rappeler que la paix est fragile et qu’il faut tout faire pour la préserver car les conséquences d’un conflit armé sont dramatiques. Le musée de la Grande Guerre est là pour en témoigner.

J’invite donc tout le monde à venir visiter le plus grand musée d’Europe sur le premier conflit mondial. Le sujet y est traité de manière très pédagogique, dans une scénographie immersive qui parlera au plus grand nombre. Depuis novembre dernier, le public peut également visiter une tranchée à ciel ouvert et mieux comprendre le système défensif dans lequel les soldats ont combattu et vécu pendant plus de 4 ans. C’est vraiment bluffant !

Quelles recommandations donneriez-vous aux jeunes qui souhaitent évoluer dans le secteur du tourisme ?

Le tourisme est un secteur passionnant ! C’est un métier d’échange et de partage en connexion avec des univers très variés : l’hôtellerie, les loisirs, la culture, l’environnement, le transport… On ne s’ennuie jamais ! Pour réussir et s’épanouir dans ce secteur il s’agit donc d’être curieux et ouvert. Le monde du tourisme regroupe de nombreux métiers. Les possibilités sont nombreuses. Il y a cependant un vecteur commun : le sens de l’accueil.

Travailler dans le tourisme représente également des contraintes. Souvent nous sommes amenés à travailler en soirée, les week-ends. Il faut en être conscient car ce sont des critères non négociables.

Enfin, le tourisme est un secteur concurrentiel et les prétendants sont nombreux. Pour se démarquer il faut se confronter au terrain le plus tôt possible afin de se construire une expérience solide. Il faut faire un maximum de stages et ne pas hésiter à les faire à l’étranger car la maitrise des langues est capitale.

Avez-vous des conseils à partager à quelqu’un qui souhaiterait découvrir ce territoire ?

Amoureux de culture, de gastronomie ou de nature, vous n’aurez que l’embarras du choix pour découvrir notre territoire.

Pour ne rien manquer, il faut absolument passer à l’accueil de l’office de tourisme. Rien de tel que les conseils de nos experts du territoire pour passer un bon séjour. Ce premier arrêt vous permettra de découvrir le cadre magique de la cité épiscopale, de visiter la cathédrale et le musée Bossuet qui expose ses collections dans l’ancien palais des Evêques. L’occasion aussi de faire un tour à la Maison du Brie de Meaux pour déguster un morceau du fromage qui a fait la renommée de la ville.

L’équipe de l’office de tourisme pourra vous concocter un programme sur mesure en fonction du temps dont vous disposez et de vos centres d’intérêt : une balade en bateau sur la Marne ou une visite à la chèvrerie Moret en famille ? Une excursion en canoë sur le canal de l’Ourcq ou une randonnée entre amis après la visite du Donjon du Houssoy ? Un dîner romantique à l’Auberge du champ de Mars et une nuit atypique sur un bateau en amoureux ? Ils vous trouveront forcément de quoi satisfaire votre besoin de déconnexion.

Vous connaissez parfaitement bien le Pays de Meaux et le Pays de l’Ourcq, y a-t-il un endroit, un site que vous affectionnez plus particulièrement ?

C’est difficile d’en choisir un, alors j’en citerai deux.

Il y a le domaine de Jean-Claude Brialy, maison de campagne de l’artiste, qu’il a cédée à la ville de Meaux pour qu’elle en fasse un lieu dédié à la création après sa mort. Le domaine, transformé en maison des Illustres, est ouvert au public depuis 2023. C’est un lieu incroyable, un petit château installé sur les hauteurs de Monthyon au cœur d’un jardin magnifique. Il est ouvert au grand public et aux groupes sur réservation d’avril à octobre pour de visites commentées intimistes.

Dans un autre registre, j’aime beaucoup la Réserve naturelle régionale du Grand-Voyeux, nichée dans l’une des boucles de la Marne à Congis-sur-Thérouanne. Elle abrite une faune et une flore incroyable. C’est le domaine des oiseaux et des orchidées sauvages. À toute heure et à toute saison elle offre des panoramas singuliers et souvent féériques.

Vanessa Rocchia
Directrice générale duKi Space Hôtel

Vous venez de prendre la direction de l’établissement hôtelier, le Ki Space Hôtel & Spa à Serris près de Disneyland Paris, avant cette aventure aviez-vous déjà une expérience dans l’hôtellerie ?

Pas directement. J’ai évolué pendant 20 ans chez Value Retail, la société qui gère notamment La Vallée Village mais également huit autres villages en Europe, deux villages en Chine et un aux Etats-Unis. Dans le cadre de mes différentes fonctions, notamment dans le tourisme, j’ai collaboré avec de nombreux hôteliers à travers des missions à l’étranger et la mise en place de partenariats stratégiques. L’hôtellerie a toujours été un univers qui me passionne : j’ai séjourné dans de nombreux établissements et nourri depuis longtemps le rêve d’ouvrir un jour ma propre chambre d’hôtes.

Alors, lorsque l’opportunité de prendre la direction d’un hôtel 4* en ouverture s’est présentée, et qui plus est sur mon territoire de cœur, le Val d’Europe, je n’ai pas hésité une seconde. Ce défi, bien que jalonné d’obstacles, est avant tout une aventure humaine extraordinaire. J’ai eu la chance de constituer une équipe engagée et de participer à chaque étape du projet avec une volonté constante d’offrir le meilleur à nos clients et collaborateurs.

En tant que femme ayant accédé à un poste à responsabilité dans le secteur du tourisme, avez-vous rencontré des défis particuliers au cours de votre parcours ? Si oui, comment les avez-vous surmontés ?

L’humain est au cœur de mon métier, et c’est ce qui m’anime au quotidien. J’ai choisi cette voie avant tout par passion pour les gens. Exigeante par nature, je suis convaincue que la bienveillance est un levier puissant de performance et de réussite pour une équipe. Certains pourraient y voir une faiblesse ou un risque d’abus, mais je pense au contraire qu’elle est une force.

Je partage pleinement la vision de Benjamin Abittan, Directeur Général Délégué chez Châteauform’, qui affirme : « La bienveillance ne signifie pas l’absence d’exigence, mais plutôt la capacité à créer un environnement où chacun peut donner le meilleur de lui-même ». Depuis un an, je m’efforce de prouver que la bienveillance, souvent attribuée aux femmes, est en réalité un véritable atout différenciant, aussi bien dans l’accueil de nos clients que dans le management de nos équipes.

Le secteur du tourisme a historiquement été un univers masculin, mais les mentalités évoluent. Je perçois aujourd’hui une réelle appétence, aussi bien chez les collaborateurs que chez les clients, pour un leadership qui allie professionnalisme, exigence et chaleur humaine.

Face aux doutes, je m’appuie sur mon parcours, mes valeurs et mes compétences, tant humaines que professionnelles. J’apprends chaque jour à me faire confiance et à avancer avec conviction. Et lorsque je vois les retours positifs de mon équipe ainsi que les commentaires de nos clients, cela me conforte dans l’idée que je suis sur la bonne voie.

Cet établissement a été construit dans une démarche éco-responsable, pouvez-vous nous en dire plus ?

Dès sa conception, le Ki Space Hotel & Spa a été pensé pour minimiser son empreinte environnementale. Sa structure est réalisée en béton bas carbone, un choix qui permet de réduire significativement les émissions de CO2 tout en offrant une meilleure isolation et une résistance accrue.

Nous avons également intégré des solutions innovantes pour une gestion durable des ressources. Par exemple, nos besoins en électricité sont en partie couverts par des panneaux solaires installés sur le parking, pouvant fournir jusqu’à 100 % de notre consommation énergétique selon les périodes. Nos toits végétalisés contribuent quant à eux à l’isolation thermique du bâtiment et à la préservation de la biodiversité locale avec nos huit ruchers et leurs abeilles.

L’hôtel est également équipé de bornes de recharge Electra pour véhicules électriques, encourageant ainsi la mobilité durable. Côté gestion des ressources naturelles, nous avons mis en place des fontaines à eau pour limiter l’usage du plastique, des robinets équipés de mousseurs pour réduire la consommation d’eau, ainsi qu’un éclairage LED avec détecteurs de mouvement pour une gestion optimisée de l’énergie.

Enfin, nous avons repensé notre approche des déchets : tri sélectif, suppression des plastiques à usage unique, recyclage des capsules de café et gestion des bio-déchets sont autant de mesures mises en place pour limiter notre impact environnemental.

Notre engagement éco-responsable ne s’arrêtera pas là, puisque nous projetons de mettre en place d’autres initiatives, comme le stockage de l’énergie, la récupération des eaux de pluie ou la mise en place d’une charte RSE. Au Ki Space Hotel & Spa, nous sommes convaincus que l’avenir de l’hôtellerie doit être plus durable, plus responsable et plus engagé.

Que conseillez-vous en matière de visites et de tourisme à votre clientèle, hormis bien entendu le parc Disney ?

La Seine-et-Marne offre une multitude d’activités, alliant culture, nature et divertissement.

Pour les amateurs de shopping, La Vallée Village est une destination incontournable, avec plus d’une centaine de boutiques mode et luxe à prix réduits.

Les passionnés de golf apprécieront le Golf Paris Val d’Europe, un parcours d’exception qui a accueilli la Ryder Cup Junior en 2018. Avec ses trois parcours de 9 trous, il offre un défi adapté à tous les niveaux, dans un cadre verdoyant et raffiné.

Les passionnés d’histoire et de patrimoine apprécieront la visite du Château de Vaux-le-Vicomte, un chef-d’œuvre du XVIIe siècle ayant inspiré Versailles.

Les familles et les amoureux de la nature pourront explorer Sea Life, avec ses 50 aquariums regorgeant d’une faune marine fascinante, ou encore Parrot World, le premier parc animalier immersif en Île-de-France dédié aux trésors de l’Amazonie.

Enfin, grâce à notre navette gratuite reliant la gare RER de Chessy/Disneyland, nos clients peuvent rejoindre Paris en seulement 45 minutes, élargissant ainsi encore davantage les possibilités de découvertes.

Avez-vous un endroit, un site, que vous affectionnez plus particulièrement en Seine-et-Marne ?

Passionnée de nature et de sport, j’ai un attachement particulier pour la forêt de Fontainebleau et plus précisément le parcours des 25 bosses. Ce site, réputé parmi les amateurs de randonnée et de trail, offre un véritable terrain de jeu naturel, où l’on alterne entre rochers, crêtes et panoramas spectaculaires.

C’est un lieu où l’on peut se dépasser physiquement tout en profitant d’un cadre exceptionnel, loin du tumulte urbain. Chaque sortie est une occasion de déconnexion totale, en immersion dans l’un des plus beaux espaces naturels d’Île-de-France.